James Moncur-Forestier
Né Moncur/Bernard, Paris, Février 1983.
Ce petit prince des villes commence sa vie comme il s'emploie toujours maintenant à la vivre, en grand pré-maturé des êtres et des choses. L'école, c'est la buissonnière. La santé, c'est celle de la maladie. Pour autant qu'il vous le dira sa vie n'est pas un long fleuve tranquille et ses repères c'est bien plus les potes, le dessin, les pétards, l'alcool, les filles (un dilemme toujours non-élucidé). Ses pères, ceux/celles pour qui il a un immense respect sont NAS, Tupak Shakur, Picasso, sa mother (ancienne mannequin pour la marque KENZO). Si sa santé est malmenée à partir de l'adolescence c'est peut-être parce qu'il en a ras le bol de gober de la merde au journal télé, d'entendre qu'une fille s'est encore faite tringlée par un gros porc dans le 6ème. Aussi, sans doute, et parce que son instinct lui dicte ses codes il se perd dans le dur avec l'AAH à la suite de dérives (ou délires). Par la même il perd tristement plusieurs amis.
Ça ne l'empêche pas aujourd'hui de trouver des réminiscences à vivre en toute impunité sa vie d'homme, de fils, de frère, d'ami avec autant vous le dire tout de suite un certain penchant pour l'art qui se vérifie dans ses réalisations aussi envoutantes que candides. Et ne vous fiez pas aux apparences, Voltaire, lui-même aurait su apprécier ce génie créatif.
Vous m'en direz des nouvelles !